La Caravelle
Ayant très régulièrement besoin de lieux de shooting pour illustrer nos différents articles, la ville de Rennes permet, grâce à la diversité des ses quartiers et de leur architecture, de pouvoir combler nos attentes ! On peut ainsi passer des typiques maisons à colombage du centre-ville, aux façades de bâtiments habillées par le mosaïste Odorico, à des ouvrages plus contemporains comme la fameuse tour Les Horizons ou cet immeuble du même architecte Georges Maillols, nommé La Caravelle. C’est donc le long de son esplanade que j’ai choisi de présenter mon premier look de la saison afin d’en exploiter les lignes graphiques apportées par ses balcons qui s’étirent sur toute sa longueur. Tons pastel, pantalon blanc et sneakers sans chaussettes sont au programme de cette tenue printanière !
Débutons logiquement par le haut de cette silhouette habillée d’une veste de travail. Il est vrai que nous en sommes assez friands dans l’équipe, moi le premier. Le gros avantage de ce type de pièce est la multitude de possibilités offertes de pouvoir l’associer comme on le souhaite. Par dessus un t-shirt, une chemise, un hoodie, un sweat ou encore un pull en maille, elle vient lier le côté esthétique en apportant une touche workwear à un côté pratique : celui de profiter de poches !
Et ce n’est pas ce qui manque sur ce modèle Works de chez JAQK qui en compte 5 ! 4 plaquées sur la face avant et 1 intérieure. Deux raisons ont orienté mon choix : sa couleur vert « pastel » qui colle bien à la saison et ses 2% d’élasthanne. Pour avoir porté certains modèles qui deviennent un peu trop rigides dès que l’on y glisse une pièce épaisse dessous, l’ajout d’élasthanne apporte ici tout le confort et la liberté de mouvement nécessaire.
Et c’est justement un pull en maille assez épais que j’ai choisi d’intégrer sous la veste. Également dans les tons clairs, il se distingue par le choix de son tissage en damier qui le démarque assez nettement en lui donnant du relief. Il est fini par des bords-côtes aux manches, à la taille et dispose d’un col assez fin. Comme de plus en plus de pièces du vestiaire Montlimart, il a été tricoté et monté en France dans un atelier de la région roannaise. Il est composé de coton biologique (100%) provenant d’Inde puis filé au Portugal. J’apprécie la transparence dont fait preuve la marque de nous détailler ces différentes étapes en indiquant même le nom de son atelier en France (Élite). J’aime aussi la coupe choisie, assez proche du corps, mais dont l’élasticité du tissage n’apporte aucune contrainte.
Passons maintenant à la partie basse avec, Ô grande première dans ma vie d’homme, un pantalon d’un blanc immaculé ! Il vient de chez Mr Marvis dont je connais bien les produits puisque je compte déjà deux de leurs shorts dans mes pièces estivales. En coton biologique (73%), polyamide (17%) et elasthanne (10%), il est vraiment ultra confortable. J’hésite d’ailleurs à m’en procurer un second en bleu marine tellement il m’a convaincu.
À la croisée du chino et du sweatpant, il se caractérise par sa ceinture élastique qui contribue grandement à cette sensation de confort. J’appréhende un peu son entretien afin de conserver le plus longtemps possible sa couleur blanche. Mais surtout, moi qui suis un peu cascadeur sur les bords, je croise les doigts pour réussir à le maintenir présentable sur toute une journée en évitant la grosse tâche de Ketchup du midi.
Mes petits petons accueillent pour leur plus grand bonheur cette paire de Karhu Fusion 2.0. J’aime beaucoup cette marque et plus spécifiquement ce modèle mais j’étais resté sur l’extrême frustration d’avoir du renvoyer ma précédente paire car je n’avais pas pris en compte que cela « taillait » petit. Pour ne pas me faire avoir cette fois-ci, j’ai carrément pris une taille au-dessus. Il s’avère qu’après essayage une demie taille aurait suffit.
Peu importe, maintenant qu’elles sont là, cette fois-ci, je les garde ! Je trouve l’association du marron et de ce rose très pâle sur les parties en daim vraiment réussie. La languette rose et la semelle mouchetée viennent rajouter une touche d’originalité supplémentaire. En matière de confort, leur souplesse et leur légèreté en font de vrais chaussons.
Une paire de lunettes Atelier Particulier, dont la toute nouvelle version doit bientôt faire son retour, vient protéger mes yeux du soleil breton. Enfin, au poignet, j’ai souhaité intégrer ce modèle Himalaya Squelette de chez LIP dont la fabrication est réalisée à Besançon. Son boîtier de 40 mm est le diamètre idéal pour mon poignet. Bien qu’assez fin, cela permet surtout de laisser une fenêtre assez large pour entrevoir le cœur de la demoiselle : un mouvement automatique analogique Miyota 8N24 disposant d’une réserve de marche de 42 heures. Je ne peux que conseiller notre test à son sujet pour ceux qui voudraient en savoir un peu plus !
Lunettes Atelier Particulier
Veste JAQK
Pull Montlimart
Pantalon Mr Marvis
Baskets Karhu
Montre Lip
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