Montre Victorinox I.N.O.X. Chrono au poignet

Ceux qui me suivent au quotidien sur Instagram se souviennent probablement d’avoir découvert cette montre au cours d’une présentation presse. Elle faisait partie de mes coups de cœur de l’année, en attendant de pouvoir vous dévoiler ce que Victorinox prépare également pour 2024. Même si je pense que vous connaissez déjà la marque pour la plupart, je vais essayer de vous donner 2-3 infos intéressantes pour commencer. Victorinox a été créée en 1884 en Suisse par Karl Elsener. Le nom de la marque est formé du prénom de sa mère (Victoria) et de la matière première qui compose ses couteaux (inox). Oui, c’est mignon. Il a commencé à équiper les soldats de l’armée suisse dès 1891. La qualité de ses produits et l’innovation dont va faire preuve Victorinox vont contribuer à faire rayonner la marque dans le monde entier. Elle est toujours dirigée par les descendants du fondateur et a développé avec la même exigence des couteaux professionnels, une offre de bagagerie, des parfums et une collection de montres. On s’intéresse aujourd’hui à sa montre I.N.O.X. Chrono, qui à première vue réunit tout ce qu’on apprécie chez Victorinox : une esthétique sophistiquée, un outil fonctionnel et la robustesse suisse.

Fiche technique

Une gueule d’enfer

Si cette montre m’a immédiatement attiré, c’est parce qu’elle a une gueule d’enfer ! Son pouvoir d’attraction s’est confirmé le jour du shooting, Aurore et Agathe, respectivement photographe et styliste, ont eu la même réaction en la découvrant : “Wow, elle est canon”. Son esthétique est marquée par sa couleur noire et ses proportions généreuses. Le boîtier fait 43 mm de diamètre. Lorsqu’on commence à la manipuler, on est néanmoins surpris par le contraste entre l’impression de robustesse et le poids. Son secret ? L’I.N.O.X. Chrono est construite autour d’un boîtier en carbone… fabriqué dans les ateliers de Victorinox en Suisse ! Je le souligne, car c’est assez rare dans l’industrie. Les boitiers sont généralement importés d’Asie. Le carbone est un matériau léger, très résistant, mais qui coûte cher, notamment en raison d’un usinage complexe lié à son point de fusion élevé (3 820℃.). La lunette est également en carbone. On aime beaucoup le travail de biseautage qui permet à lunette de forme hexagonale de présenter différentes facettes. Le design est par ailleurs marqué par l’aiguille des heures et des minutes d’un blanc luminescent, que l’on retrouve au niveau des index. La couleur jaune présente sur la pointe de la trotteuse, au niveau de la lunette et qui encadre le guichet date à 6h, apporte encore un peu plus de sportivité à la bête.

Une montre outil

Cette montre affiche donc (spoiler), l’heure, mais (restez, restez…) aussi le jour et la date. L’indication du jour est discrètement positionnée à 12h, sous l’emblématique logo Victorinox. La large couronne crantée permet de facilement manipuler la montre pour accéder à ces différents réglages. Les boutons poussoirs à la surface striée, situés de part et d’autres, sont aussi très agréables à utiliser. Ils permettent d’exploiter la fonction chronographe. On peut veiller à la cuisson des œufs grâce aux 3 sous-cadrans ton sur ton, placés au cœur du cadran, et mesurer ses futurs records via l’échelle tachymétrique gravée sur l’intérieur de la lunette en carbone. La mention « antimagnetic » inscrite sous le cadran à 3h, nous indique que cette montre est bien évidemment conçue pour ne pas être perturbée par les champs magnétiques, et conservera ainsi toute sa précision. Elle est par ailleurs étanche à 200 m. Malgré la présence de nombreuses informations, le cadran reste très lisible. Il est fièrement signé « Swiss Made » (indication à 6h).

Au poignet

La montre est présentée dans un nouveau packaging, plus compact. Il permet à Victorinox de réduire l’impact de sa production sur l’environnement : moins de carton, plus de coffrets dans un même envoi au niveau logistique. C’est malin et très bien conçu ! Sur la partie haute, on peut voir le 2ème bracelet. J’ai été très content de découvrir d’ailleurs que ce modèle était livré avec deux bracelets, car le choix n’est vraiment pas simple entre le bracelet en caoutchouc et le bracelet en paracorde. On évite ainsi un sacré dilemme ! Dans les deux cas, le bracelet passe dans une boucle classique, qui permet ensuite d’ajuster le réglage au poignet. Après avoir alterné le port de l’un et de l’autre, grâce au système de changement facile, j’ai une légère préférence pour le bracelet en caoutchouc qui est super confortable.

Avec son look assumé de baroudeuse, cette montre s’intègre difficilement dans une tenue formelle. Mais, on peut l’associer à une tenue casual, workwear, sportswear, au quotidien, en week-end, en voyage, bref, quasiment en toute occasion avec la certitude d’avoir au poignet une montre robuste qui ne craindra pas d’être portée !

L’avis de notre styliste

Une montre noire pleine de caractère qui apporte immédiatement un côté baroudeur / sportif à celui qui la met à son poignet. Les deux bracelets permettent d’accessoiriser encore mieux en fonction de son look du jour.

Veste Balibaris | Pull Noyoco | Jean LePantalon | Chaussures Kleman | Montre Victorinox