Timothée Chalamet : 5 astuces style à lui piquer !
Hehe, voilà un sujet qui va vous faire parler ! On le sait, Timothée Chalamet est plein de défauts : ultra-bankable, on le voit trop partout (notamment dans le rôle de Paul Atréides, personnage principal de “Dune : Deuxième Partie”, en salles le 28 février), il sort avec une Kardashian, supporte Saint-Etienne et il a la même tête que ce gars qui ne voulait pas nous prêter de copie double au collège. Mais s’il y a un domaine où il fait l’unanimité, c’est bien la mode. Il est en effet reconnu pour être très stylé. Pas forcément dans le sens où on l’entend nous à titre personnel, mais plutôt de manière générale : audace, couleurs, coupes, etc. Il casse les codes et va jusqu’à porter des vêtements de femme très premier degré. Alors sans aller jusqu’à enfiler un crop top transparent et le pantalon préféré de votre mamie – sauf si c’est votre style, of course – il faut passer outre ses a priori et tenter de piocher ce qu’il fait de bien pour l’adapter à ses goûts et ses envies. Car, croyez-le ou non, côté style, Timothée Chalamet a beaucoup à nous apprendre (ou plutôt ses stylistes personnels).
Les cheveux
C’est “LE” point fort de notre Chalamet national. Si c’est la nature qui est la première responsable de cette crinière, c’est bien lui qui en a fait un atout majeur. On lui connaît plusieurs coiffures, mais les deux plus fréquentes sont plutôt simples en apparence : une fausse raie au milieu avec quelques mèches qui tombent négligemment sur son front et un effet décoiffé. Alors, que peut-on en tirer ? Eh bien, d’une part, il a compris qu’une coupe longue mettait mieux en valeur la forme de son visage. Ça paraît tout bête, mais le rapport morphologie/longueur des cheveux n’est pas une science infuse pour tout le monde. Alors on fait comme Timothée, et on se fait conseiller par son coiffeur. D’autre part, il n’a pas eu peur de tenter plusieurs coiffures avant de se trouver. Là encore, c’est une bonne leçon à tirer : il faut oser ! Enfin, il assume sa nature de cheveux. Ses boucles, parfois irrégulières, il en a fait un avantage. Ça vaut pour tous les chevelus, mais aussi pour les chauves. Quand on a compris qu’apprivoiser sa tignasse, c’est avant tout l’accepter comme elle est (ou comment elle n’est pas), c’est un très bon début.
Les couleurs
En termes de mode, la couleur favorite de Timothée Chalamet semble être le rose. Pas forcément la teinte la plus facile à porter et pourtant il fait ça très bien. Et c’est un bon truc à lui piquer, parce que nos couleurs favorites sont rarement le bleu marine, le noir, le gris, le beige, le blanc et le marron auxquels le vestiaire masculin se limite très souvent. Et c’est un peu triste parce que porter la ou les couleurs que l’on aime le plus, ça a un impact psychologique non négligeable, notamment sur la confiance en soi. De mon côté, j’aime le vert. Alors, je ne me fais pas des looks entiers autour de cette couleur comme Chalamet peut le faire, mais j’ai réussi à l’intégrer à ma garde-robe. D’abord via des accessoires – un cadran de montre, une pierre sur une bague, une casquette – puis des pièces plus “grosses”. Aujourd’hui, j’ai toujours une touche de vert dans mes tenues et ça égaye mes journées. Il y a également d’autres astuces couleurs à piocher dans le style de Timothée Chalamet : un motif fort par tenue, une couleur détonnante, pas plus, on contrebalance du lumineux par de l’organique et on évite d’accumuler les couleurs sombres. Bref, il sait y faire.
Les coupes
Si l’on pourrait croire au premier abord que Chalamet se contente de suivre les tendances, que ce soit l’oversize ou le “no gender”, c’est souvent réservé aux tapis rouges. Dans la vie de tous les jours, le Tim propose un style plus classique se différenciant par les couleurs donc, comme cité plus haut, mais également par les coupes. Et là, contrairement à ses tenues de gala, il ne se contente pas de suivre les modes et préfère choisir des pièces qui lui vont. Encore une fois, ça peut sonner creux comme conseil, mais quand on regarde autour de soi, entre les mecs un peu trapus qui s’acharnent à porter des jeans skinny et ceux qui, au contraire, portent des pulls deux tailles au-dessus parce que c’est la mode, sans se soucier de leur morphotype, on se rend compte que ce n’est pas évident pour tout le monde. Pas de panique, on a plein de conseils sur cette page dédiée aux conseils en fonction de la morphologie.
La pièce qui détonne
J’ai eu l’idée de cette “astuce” en recherchant des photos pour m’aider à écrire ce sujet, en tombant sur un cliché en apparence anodin. Il a son pull col large à gros motifs, mais plutôt sombre, une paire de lunettes de soleil classiques, bref, du simple, de l’efficace, presque du “chiant”. Mais il y a un détail qui vient mettre un coup de pied dans la fourmilière : un “choker”, ces colliers féminins ras-du-cou qui font un retour en force ces derniers temps. Une pièce qui, en plus, est en perles, encore une tendance et encore du “switch” de genres. Ça illustre bien l’une des qualités de Chalamet qui est de trouver une pièce qui viendra épicer sa tenue quand il la trouve trop sage. Encore une fois, il ne s’agit pas ici de s’inspirer premier degré en se contentant de porter un choker en perles, mais d’adapter cette technique à ses goûts personnels. Un bracelet jonc avec une grosse pierre turquoise ou rouge, une paire de solaires ultra-graphiques, une montre au design qui sort de l’ordinaire, n’importe quoi tant que ça “pète”, que ça matche et que ça ne fait pas déguisement.
Les textures
Pour illustrer cette partie, je ne pouvais pas passer à côté de ce qui est ma tenue favorite de Timothée Chalamet : un ensemble en camaïeu marron de chez Tom Ford où le cuir lisse de la veste répond au cuir texturé des chaussures, le tout complété par des tissus plus légers, satiné pour la chemise et un poil plus brut pour le pantalon. Les jeux de textures permettent de donner du relief à n’importe quelle tenue, et c’est presque open bar ! En ce moment, on aime bien porter une veste en tweed vintage sur une chemise en denim par exemple, ou du velours côtelé avec du molleton, voire carrément un drap de laine avec un survêtement plus “nylon”. Il vaut mieux tenter et “rater” (c’est vraiment compliqué) plutôt que de superposer les mêmes matières et prendre le risque d’un look sans saveur. Le full denim notamment, est un exercice risqué si on ne le tranche pas avec une pièce en laine et une ceinture en cuir bien marquée.
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