Vasco Watch : la montre 24h à la française

Il y a quelques temps déjà nous vous parlions de la marque d’horlogerie française Vasco dont les créations se caractérisent par des montres « format 24h ». Vasco revient aujourd’hui sur le devant de la scène avec une nouvelle campagne Kickstarter et lance quatre montres « 24h automatique ». Une belle aventure qu’on avait forcément envie de partager avec vous !

Avant de vous parler de ces nouvelles créations, un peu d’Histoire ! Vasco s’est inspirée des garde-temps portés par les sous-mariniers, les astronautes, ou bien encore les pilotes de ligne, qui, privés de la vue de soleil comme point de repère, avaient besoin d’avoir facilement accès à l’heure… ce qui n’est pas possible sur une montre classique qui affiche l’heure sur simplement 12h. Au-delà de ce côté fonctionnel, la lecture du temps sur 24h est une véritable éloge à la lenteur.

Cette philosophie s’accentue aujourd’hui avec les nouvelles créations qui embarquent des calibres automatiques 24h. Les quatre nouveaux modèles reprennent le design très Bauhaus des premiers canevas de la marque et sont fabriqués en France. Nocturne, Sauvage, Nautique et Invincible, de leurs noms respectifs ressort soit un cœur russe (mouvement automatique Raketa 2624, avec historique rare, solide et précis), soit un cœur japonais (Miyota 8217 qui a fait depuis longtemps ses preuves).

Les équipes Vasco nous proposent ces garde-temps avec des bracelets en cuir (fabriqués dans le pays basque) et des attaches rapides pour changer son look selon l’humeur du jour, mais aussi dans un packaging respectueux de l’environnement (recyclable à 90%), avec une housse qui se patinera avec le temps. Que dire de plus ? Nous souhaitons le meilleur à Benjamin Chamfeuil, designer et fondateur de la marque, et à son équipe, dans cette nouvelle aventure qui, j’en suis sûr, rencontrera le succès qu’elle mérite. En tout cas, personnellement je suis conquis par ces nouvelles créations qui apportent une vision du temps vraiment différente ! Le dicton du jour, « le diable se trouve dans les détails », leur va comme un gant !