Yema Rallygraf Meca-Quartz, une nouvelle collection de montres colorées
La Yema “Rallygraf” est une montre emblématique. Plus précisément un chronographe, qui a vu le jour en 1966, destiné à être utilisé par les pilotes. Ce sera le cas, notamment au poignet de Mario Andretti, Champion du monde de Formule 1. Quand on aime l’auto, il n’y a rien de plus frustrant que de fermer la portière et dire au-revoir à sa titine jusqu’à la prochaine balade et la “Rallygraph”, avec ses sous-cadrans inspirés des vieux tableaux de bord, nous aide à patienter tant c’est un véritable morceau de voiture vintage que l’on conserve à son poignet, sans avoir besoin de faire le plein ou passer les vitesses. Et, hasard du calendrier ou non, Yema vient de présenter une nouvelle collection Yema “Rallygraf Meca-Quartz” dont les commandes ouvrent aujourd’hui, la veille de l’édition 2023 du Rétromobile, the place to be des passionnés de guimbardes rétro.
Le Meca-Quartz, c’est réunir le meilleur des deux mondes dans une seule tocante. Le quartz est plus précis, mais l’aiguille des secondes ne “glisse” pas, et l’on perd, paradoxalement, en précision à ce niveau-là. Ainsi, on voit se développer des mouvements hybrides, principalement sur des chronographes, qui permettent de dissocier la lecture de l’heure et la trotteuse du chronomètre. Sur la Yema “Rallygraf Meca-Quartz”, il s’agit d’un calibre d’une fiabilité qui n’est plus à prouver, le Seiko VK64. Ainsi, on lit l’heure avec du quartz, et on calcule son temps au tour avec un chronomètre mécanique.
Toujours dans une optique de précision et de conformité avec son ADN automobile, la Yema “Rallygraf Meca-Quartz” embarque une lunette tachymétrique classique en aluminium. Elle permet de calculer sa vitesse en partant sur une base de 1 000 mètres. Comment ? Sur un circuit d’un kilomètre, on lance la trotteuse au début du tour puis on l’arrête à la fin. Si elle s’arrête sur 70, alors vous roulez en trottinette électrique alors vous avez parcouru le tour à une vitesse moyenne de 70 km/h.
Cette nouvelle collection se décline en 5 combinaisons de couleurs. Si tous les modèles ont en commun la fameuse lunette, un verre minéral K1, le mouvement meca-quartz (ça va de soi), et le boîtier en acier inoxydable de 39 mm, ainsi que les sous-cadrans typiques de la “Rallygraf”, la différence se fait sur les couleurs des lunettes, bracelets et sous-cadrans justement. Au choix, donc, un modèle vert (notre préféré), un bleu et un bordeaux, qui arborent des cadrans blancs, un modèle cadran noir, lunette noire et sous-cadrans écrus, et un dernier modèle “panda”. Toutes partagent une trotteuse dont l’extrémité rouge facilite la lisibilité (et ajoute du caractère), et un fameux logo “drapeau à damier”. À noter aussi, un détail qui n’en est pas un : le magnifique fond gravé du blason de la marque !
Côté bracelet, Yema propose deux options. Un acier en maille milanaise, délicieusement rétro, et un cuir perforé, dont la couleur correspond à la combinaison choisie. C’est vers cette deuxième option que l’on se tournera, parce qu’on veut jouer la carte “auto rétro” jusqu’au bout. Accessoirement, la version cuir est proposée à 369€, contre 399€ montée sur un bracelet acier. Ha, et la Yema “Rallygraf Meca-Quartz” est étanche à 100 mètres, donc si le virage du lac de Neuvic est un peu trop serré pour votre Renault Floride, on arrivera au moins à sauver votre montre…
Montre “Rallygraf Meca-Quartz”, disponible sur le site de Yema
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