Une semaine en base layers Odlo : looks et conseils
Quand l’automne semble bien installé et que l’hiver pointe son bout de son nez, le froid ne doit pas nous empêcher de faire du sport. Mais, avant de commencer une session, il y a plusieurs cases à cocher pour se mettre dans les meilleures conditions possibles : “Thunderstruck” dans les oreilles, check, gourde pleine, check, de bons “base layers” (ou “couche de base” en VF), check, une fois que vous aurez lu ce qui suit. Et ce qui suit, justement, ce sont des idées de looks et l’intervention d’un expert en la matière, Dan Pattison, Category Manager chez Odlo. Une marque norvégienne basée en Suisse, deux pays où l’on s’y connaît en termes de fond d’air frais, qui imagine, depuis plus de 80 ans, des vêtements adaptés aux sports en plein air, utilisant des matériaux performants et haut-de-gamme. Bien entendu, sa nouvelle collection automne-hiver 2024 ne fait pas exception.
Confort, chaleur et performance
Pour ceux qui ne sont pas au courant, un bon base layer est essentiel car il aide à réguler la température corporelle, évacue efficacement la transpiration et assure un confort optimal quelles que soient les conditions. Cette nouvelle collection de base layers Odlo repose sur deux piliers. Le premier s’appelle “POW Blackcomb”, un mélange de 74 % de polyester recyclé, 21 % de polyamide et 5 % d’élasthanne, que l’on retrouve sur trois types de hauts à manches longues – col rond, col zippé ou col montant avec cagoule intégrée – et de deux types de collants – 3/4 ou long -, tous disponibles en trois coloris pour homme et femme et, c’est ce qui fait aussi leur force, sans coutures. Une caractéristique qui a son importance puisque cela maximise la liberté de mouvement, l’isolation, la respirabilité et la gestion des odeurs. Le motif est simple mais très efficace, rappelant “un glacier en train de fondre”, clin d’œil aux activités auxquelles les pièces sont destinées, ski, course à pied, randonnée, trail, entre autres, mais aussi à “Protect Our Winters” (le “POW” dans “POW Blackcomb”), l’ONG avec laquelle Odlo a co-créé ces pièces.
Le deuxième pilier de cette nouvelle collection Odlo, c’est “Merino Warm”. Comme son nom l’indique, il s’agit de pièces en 100% laine mérinos naturelle, habillées d’un motif inspiré des panoramas majestueux du pays de Munch et Erling Haaland (la Norvège quoi). Made in Europe, c’est plutôt rare pour des vêtements de sport, les hauts à manches longues (col rond ou zippé) et pantalons assortis reprennent les caractéristiques bien connues de la laine qui les composent : doux, antibactériens et thermorégulateurs. Le tout validé par Martin Fourcade, multiple champion olympique de Biathlon français et ambassadeur Odlo (pas rancuniers les Norvégiens, vu la rivalité sportive entre les deux pays !), qui déclare : « Le tissu est agréable sur la peau et le motif en jacquard apporte une petite touche nostalgique« .
Bandeau Odlo | Base layer Odlo | Veste Odlo
À partir des pièces de cette nouvelle collection, le Camion a imaginé 3 looks pour une semaine sportive bien remplie, mettant en scène Mattéo dans plusieurs situations, afin de démontrer la polyvalence des base layers de la marque norvégienne. De la randonnée, avec le “Merino Warm”, quand le “POW Blackcomb” l’accompagne pour la course à pied et le street workout.
3 looks pour une semaine en base layers Odlo
Running
Changement d’ambiance. Après une bonne raclette le dimanche, on part pour une session running décrassage le lundi matin avant le boulot afin de commencer la semaine du bon pied. Ça caille, il fait nuit, les arbres sont dénudés et un léger brouillard nous plongerait presque dans un polar. Alors on réchauffe tout ça, au sens propre et au sens figuré avec de belles couleurs, notamment notre bandeau “Polyknit Warm” qui arbore un beau “bleu provincial” (j’ai appris un nouveau nom de couleur aujourd’hui). C’est le base layer “POW Blackcomb” qui nous accompagne, lui aussi en bleu provincial (un bleu qui ne paye pas 7€ pour un espresso ?). On l’associe au short de running “Zeroweight”, qui, comme son nom l’indique, est très léger et permet donc de se mouvoir en toute liberté, et, comme son nom ne l’indique pas, est en polyester recyclé. Il est composé de deux couches, dont l’une plus moulante vient protéger des courants d’air le haut des cuisses. “Et les mollets alors ?” me direz-vous ! Eh bien, il ne sont pas en reste grâce aux chaussettes hautes “Active Warm XC”. Et “warm”, ça veut dire quoi ? Ça veut dire chaud, CQFD. Enfin, on termine avec des chaussures qui ne sont pas signées Odlo – parce que la marque n’en propose pas encore -, avec des Fila “Astatine”, jolies et performantes, tout ce dont on a besoin.
Bandeau Odlo | Base layer Odlo | Short Odlo | Chaussettes Odlo | Baskets Fila
Dan Pattison, Category Manager chez Odlo : Cela peut sembler évident, mais c’est extrêmement important, en particulier pour les sports à haute intensité comme le ski (nordique, de randonnée, alpin) ou le trail. Pour que le tissu fonctionne de manière optimale, il doit rester en contact étroit avec la peau. C’est pourquoi la majorité des modèles haute performance d’Odlo sont conçus avec une coupe ajustée et sans couture. Cette coupe permet d’absorber immédiatement la transpiration dans le tissu afin de garantir un confort optimal. Si la coupe est plus ample, sans contact direct avec la peau, l’humidité peut couler sur la peau, causant de l’inconfort et des zones froides.
Street workout
Lundi course, et mercredi ? Muscul’ ! Le milieu de la semaine est le jour parfait pour se défouler donc direction notre spot de street workout favori pour quelques tractions, dips et squats. Mais pour ça, il faudra une tenue capable de garder nos gros muscles au chaud. Et l’un des muscles les plus importants se trouve sous le crâne alors on choisit un nouveau bandeau « Polyknit Warm », cette fois en jaune fluo, histoire de se faire remarquer au cas où un trottino-taffeur imprudent passerait trop près de notre barre. On ressort notre base layer zippé “POW Blackcomb”, toujours en bleu provincial, pour réguler au mieux notre température, sur lequel on vient greffer la veste sans manches “Zeroweight” qui, comme le short du même nom, offre protection maximale contre le vent pour un poids minimum. En bas, le pantalon de survêtement “Active 365” en molleton coton/polyester/polyamide, chaud et robuste, nous offre autant de confort que de souplesse. À condition d’être souple soi-même, bien entendu. Nos chaussettes “Active Warm XC” sont toujours là et bien là pour nous maintenir les péniches au chaud, glissées dans une paire de baskets “UA Dynamic Select” signée Under Armour, qui promettent un maintien efficace afin d’enchaîner les exercices. Et à nous un winter body à la Jason Statham !
Bandeau Odlo | Base layer Odlo | Veste Odlo | Survêtement Odlo
Chaussettes Odlo | Baskets Under Armour
Dan Pattison : Absolument, oui. De plus en plus de consommateurs utilisent les base layers dans des environnements multisports pour le confort qu’ils procurent. Par exemple, nous avons observé que de nombreux coureurs de trail utilisent le mérinos sans couture pour le trail par temps frais. Ce même mérinos serait également idéal pour la randonnée ou le ski de fond. Côté synthétique, le haut de gamme de notre collection sans couture, le « Blackcomb », est tout aussi performant lors d’une course à haute intensité ou d’un entraînement en extérieur de type HIIT que pour le ski de randonnée. En fin de compte, nous offrons des conseils sur l’utilisation des base layers, mais c’est le consommateur qui détermine ce qui est approprié pour chaque situation, en adaptant le produit à sa garde-robe outdoor selon ses besoins.
Randonnée
Et on termine la semaine par un samedi sous le signe de la randonnée – ou “hiking” comme on dit à Verbier -, avec, sur la tête, toujours notre bandeau “Polyknit Warm”, mais orange fluo, idéal pour être vu de loin (c’est très utile en rando). Puis on descend un peu et on enfile le haut quart zippé “Merino Warm” qui offre chaleur et confort grâce à la laine mérinos naturelle et tous ses bienfaits. Par dessus, un gilet “Ascent Hyper Contrast”, léger mais efficace grâce à sa laine isolante. Et pour être définitivement protégé des éléments, on termine le haut du corps par une veste imperméable “Ascent S Thermic”, conçue pour résister au vent et à la pluie. Imperméables aussi, nos gants “Light” sont ultra-polyvalents et complètent l’armure. Pour le bas, on a opté pour le pantalon de randonnée “Ascent”, permettant une belle liberté de mouvement (on a vu Mattéo faire le grand écart comme Van Damme mais l’appareil photo n’avait plus de batterie). Enfin, les pieds ! On trouve notre bonheur chez Merrell, avec une paire de baskets “Moab Speed 2 Gore-Tex”, qui, avec Gore-Tex dans l’intitulé ne laisse que peu de place au suspens : elles protègent des éléments en plus d’offrir une adhérence à toute épreuve.
Bandeau Odlo | Base layer Odlo | Gilet Odlo | Imperméable Odlo | Gants Odlo
Pantalon Odlo | Baskets Merrell
Dan Pattison : Le choix du tissu dépend souvent des préférences personnelles, donc une compréhension de base des avantages et des inconvénients des différents tissus peut aider dans le processus de décision. La laine mérinos est une excellente option pour ceux qui préfèrent un choix naturellement durable. Les vêtements en mérinos offrent un confort exceptionnel, sont d’une grande douceur et possèdent des propriétés naturelles de régulation de l’humidité et de chaleur, même lorsqu’ils sont saturés d’humidité. Un des principaux avantages du mérinos est qu’il possède des propriétés anti-odeurs naturelles, permettant de porter une pièce plusieurs jours sans besoin de lavage. Le seul inconvénient du mérinos est qu’il s’agit d’un produit haut de gamme qui demande un peu de soin lors du lavage. Nous recommandons de laver le produit dans un filet de lavage pour éviter qu’il ne s’accroche à des articles plus abrasifs. À part cela, l’entretien est très simple, car tous les produits en mérinos sèchent très rapidement à l’air. De l’autre côté, les tissus synthétiques sont incroyablement polyvalents et offrent des vêtements très robustes, ce qui les rend idéaux pour des usages intensifs et fréquents. L’entretien est très facile et le temps de séchage est extrêmement rapide. Il n’est pas rare de conserver un base layer synthétique de bonne qualité pendant plus de cinq ans, ce qui représente une excellente valeur à long terme. Le seul inconvénient des synthétiques, contrairement au mérinos, est qu’ils retiennent les odeurs et nécessitent donc des lavages plus fréquents. Pour ça, on a d’ailleurs une solution : les vêtements synthétiques d’Odlo sont traités avec notre technologie HeiQ Mint pour contrôler les odeurs. Et pour ceux qui n’arrivent vraiment pas à se décider, nous avons également une solution. En effet, il est possible d’opter pour le meilleur des deux mondes en choisissant un mélange de tissus naturels et synthétiques, comme dans les collections « Performance Wool » d’Odlo.
Plus d’informations sur : https://www.odlo.com
Article réalisé en collaboration avec Odlo.
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