Au poignet pour notre prochaine plongée sous-marine : la nouvelle JB300 de Jacques Bianchi Marseille

Cette fin d’année manque de soleil alors direction le sud pour prendre des couleurs. Me voilà partie à Marseille ! Loin de moi l’idée de me rendre au stade Vélodrome pour un match de l’OM, j’ai préféré plonger avec la Bonne-Mère en toile de fond. A mon poignet : la dernière JB300 de Jaques Bianchi Marseille. Une pièce inspirée de son ainée militaire née dans les années 1990. Combinaison et masque enfilés, bouteille d’oxygène pleine, je saute et je vous emmène à la découverte des fonds marins et de cette JB300.

La réinterprétation d’une montre militaire des années 1990

Déjà fan des versions Méduse et Poulpro de la JB200 avec leur plongeur et poulpe sur le cadran, j’attendais avec impatience la sortie de la JB300. Cette petite nouvelle s’inspire d’une montre militaire née dans les années 1990 qui présentait déjà quelques qualités : résistance aux chocs, lunette avec crantage particulier pour être utilisée avec des gants, mouvement mécanique à remontage automatique suisse (ETA 2824), cadran mat pour éviter les reflets, index surdimensionnés et luminescents pour une lisibilité optimale. Elle faisait partie de l’équipement des plongeurs spécialistes d’aide au franchissement (SAF) et son bracelet en perlon noir, une fibre ultra-résistante, permettait d’arrimer la montre sur les planchettes de navigation des professionnels. Sans jouer la carte de la nostalgie à outrance, la nouvelle JB300 tout juste lancée conserve certains des attributs de sa grande sœur. Lesquels ? Un cadran noir « Maxi Dial » avec double numérotation sur 24 heures, des aiguilles et des index luminescents – plongeuse oblige – et un guichet date positionné à 3 heures. Les « dents » surdimensionnées de la lunette tournante unidirectionnelle rappellent également le modèle d’origine.

Montre Jacques Bianchi Marseille JB300 Diver

Un design affuté et modernisé

La JB300 dernière génération se revendique bien nouvelle. Son boîtier en acier brossé de 42 mm de diamètre a vu ses lignes revisitées en gardant de la robustesse mais en améliorant l’ergonomie. Les cornes, plus tendues, viennent bien épouser le poignet, un détail à relever et que l’on apprécie, surtout pour une montre qui revendique des origines militaires. À trois heures, la couronne est noyée dans la carrure du boîtier et protégée par deux épaulements bien solides. Index de couleur ivoire, aiguille en forme de flèche pour indiquer les minutes, cadran noir mat et verre saphir plat, cette montre est destinée aussi bien aux passionnés de plongée sous-marine qu’aux amateurs de design bien baroudeur. Côté mécanique, Jacques Bianchi Marseille a misé sur le sérieux d’un calibre suisse. Les puristes apprécieront. La JB300 embarque un mouvement P24 à remontage automatique offrant une réserve de marche de 42 heures. Le bracelet, enfin, est un Tropic noir léger et confortable au poignet, la montre étant également livrée avec un second bracelet en perlon noir, en hommage à son histoire militaire. Si vous vous demandez pourquoi cette JB porte le chiffre 300, la réponse est simple. 300 indique la profondeur jusqu’à laquelle la pièce est garantie étanche.

Alors est-ce qu’on plonge dans le grand bain avec cette JB300 ?

C’est un grand oui mon capitaine ! Que l’on vise ou non les abysses, la JB300 nous prouve sa qualité de plongeuse, prête à équiper les vrais pro dans le domaine. Alors oui, il faut clairement aimer le côté « tool watch » et le design robuste de cette montre pour succomber. Quoi qu’il en soit, celle-ci séduira à coup sûr les amateurs d’horlogerie au caractère bien trempé. La JB300 est une sportive. Elle suivra sans aucun doute dans vos prochaines aventures, sous la mer, ou au cours d’un dîner où l’on assume plonger gaiement au-delà de quelques verres… Alors prêts à plonger ?! Si oui, ne tardez vraiment pas, car la JB300 est une édition limitée qui est disponible en précommande sur le site de Jacques Bianchi Marseille au prix de 890 €, depuis le 20 novembre, et ce, pour une durée de 15 jours seulement.

Plus d’informations sur www.jacquesbianchi.com