Orlebar Brown : des vêtements de vacances pour réduire son impact environnemental

Parce que les vacances sont faites de moments inoubliables, souvent immortalisés en photo, autant être bien habillé ! Pour incarner le chill au bord de la piscine, le repos bien mérité et les escapades en pleine nature, Orlebar Brown a tout prévu. Short de bain, polo sur mesure, t-shirt ajusté et short dans une grande variété de longueur et de couleur (selon que l’on aille dîner, danser ou nager). Chaque pièce est pensée pour se distinguer et permettre d’afficher son style. C’est d’ailleurs ce qui a poussé Adam Brown, un photographe anglais, à fonder Orlebar Brown en 2007. Avec cette marque, il a voulu offrir aux hommes la possibilité (jusque-là réservée aux femmes) d’être élégant en maillot de bain. C’est au fil de son développement que la marque s’est ouverte aux autres “vêtements de vacances”. Désormais, elle affiche un autre objectif : réduire son impact sur l’environnement.

2018 est un tournant pour Orlebar Brown. Soucieuse de préserver la nature dans laquelle nous nous épanouissons lors de nos vacances, la marque se fixe un objectif ambitieux : devenir une entreprise zéro carbone d’ici fin 2021 et fabriquer ses produits à partir de matériaux 100% recyclés d’ici 2023. Mais, comment devenir zéro carbone lorsque l’on produit des vêtements ? En réduisant puis en compensant financièrement les émissions restantes (c’est-à-dire en investissant de l’argent dans des projets à carbone bleu). Pour cela, Orlebar Borwn est partenaire de Sea Trees, qui œuvre à la protection des écosystèmes côtiers, reconnus pour leur capacité à aspirer le carbone de l’atmosphère.

Leur objectif environnemental est sur la bonne voie. Sur leur short de bain emblématique, 100% du nylon est recyclé. Celui-ci, comme tous leurs shorts de bain, est garanti 5 ans. Car préserver l’environnement, c’est consommer durable. Qui dit durable signifie de meilleure qualité : c’est le crédo d’Orlebar Brown. Laine de mérinos, cachemire, coton biologique, lin : autant de matières qui proviendront toutes d’un recyclage d’ici 2023 (à l’heure actuelle, cela concerne déjà la moitié des matières utilisées). Un sacré défi à relever mais qui fait, chaque jour, un peu plus de sens !

Plus d’infos : www.orlebarbrown.com