Le parc Güell, Barcelona

C’est un passage obligé de n’importe quel séjour barcelonais. Le Parc Güell a été immortalisé un nombre incalculable de fois dans des films, des peintures, des documentaires, a tel point qu’on a déjà l’impression d’y être allé sans même jamais avoir mis le pied en Catalogne. C’était mon cas. J’avais le sentiment de déjà le connaître ce parc, comme si je m’étais déjà assis sur ce banc, le plus long banc ondulé du monde, comme si j’avais déjà monté ces escaliers en passant à côté de la fameuse salamandre en mosaïque. Un sentiment de déjà-vu rapidement estompé dès que nous sommes arrivés dans ce lieu. Alors oui, je n’ai pas été surpris, mais j’en ai tout de même pris plein les yeux. La lumière, les reflets, la vue sur la ville, les ponts, les bancs, les sculptures magnifiques, les fleurs… plein de petites choses fantastiques parce que oui la mosaïque n’est pas qu’en faïence, ce parc est une gigantesque mosaïque à lui tout seul. Il faut aimer ça bien sûr, mais j’ai trouvé ça enivrant. On s’est laissé prendre au jeu et la balade photographique a duré bien plus longtemps que prévu.

Pour faire un petit point d’histoire, le parc Güell est une réalisation de l’architecte catalan Antoni Gaudí (encore une). Edifié entre 1900 et 1914 et restauré de 1984 à 1993, le parc Güell est aujourd’hui inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Le parc étant baigné de soleil, il n’était pas question que j’y aille en pantalon. Même si nous n’étions qu’en avril, le thermomètre devait déjà chiffrer un bon 25 degrés alors j’ai choisi ce short “délavé à l’acide”. Je ne suis pas un adepte des délavages exotiques mais avec une tenue stricte – chemise blanche col arrondi, pull marine et montre noire – je me suis permis cette pointe d’excentricité, associée à des espadrilles rouges qui m’accompagneront une bonne partie de l’été.

Pull Selected
Chemise ASOS
Short ASOS
Espadrille Bigote Paris
Montre Karl
Lunettes Topman